. Abir Moussi, née en 1975 à Jemmal, Tunisie, est une avocate et femme politique tunisienne. Elle est la présidente du Parti Destourien Libre depuis 2016 et députée depuis 2019. Elle avoue que son projet s'inspire de la politique du président Bourguiba, surtout dans le fait que c'était un homme intègre et qu'il a construit une Tunisie moderne. Cette brillante avocate est l’exemple même du courage et de la résistance à la dictature islamiste. Ses discours pour l'égalité et la liberté, ainsi que pour la lutte contre le terrorisme et la corruption sont de plus en plus très appréciés par les tunisiennes et les tunisiens. Le plus récent sondage concernant les élections législatives, attribue à son parti le PDL la première place avec 42% des intentions de vote, loin des islamistes qui atteignent seulement 20%. Ce résultat encourageant démontre que les islamistes sont en échec total, et plus Abir Moussi gagne du terrain sur la scène politique tunisienne, plus les terroristes d'Ennahdha et leurs complices sont dans la panique. Et quoi qu'ils disent ses détracteurs, Abir Moussi est actuellement, la plus crédible pour redresser l'économie et mettre le pays sur le bon chemin pour un avenir meilleur.

. Jacinda Ardern, née en 1980 à Hamilton, Nouvelle-Zélande, Première ministre depuis 2017, et elle a été réélue triomphalement en octobre 2020. Une victoire éclatante qu'elle doit en partie à sa gestion des nombreuses crises traversées par le pays durant son premier mandat. Intelligente, moderne, empathique et chaleureuse, elle est la coqueluche des progressistes dans de très nombreux pays. Saluée dans le monde entier, dans sa gestion de la crise à la suite du drame survenu dans deux mosquées à Christchurch, au cours duquel 51 musulmans ont perdu la vie, assassinés par un terroriste d’extrême droite. Elle a fait alors preuve d’une capacité de réaction rapide : l’ensemble du Parlement vote une loi interdisant la vente et la détention de fusils d'assaut. Elle a été également très efficace dans sa gestion de l'éruption mortelle du volcan White Island. Quant à sa réponse exemplaire à la pandémie, elle a appliqué la « méthode Jacinda » dont voici le bilan : seulement 25 morts sur 5 millions d’habitants. De plus, par geste de solidarité envers la population, la Première ministre et les plus hauts fonctionnaires renoncent à 20 % de leur salaire.

. Sanna Marin, née en 1985 à Helsinki, Finlande, est une femme d’État finlandaise et présidente du Parti social-démocrate. En 2019, elle est devenue à 34 ans la Première ministre la plus jeune de la planète. Elle a prêté serment à la tête d’une coalition de cinq partis, tous dirigés par des femmes. Et en plus, elle travaillera au sein du gouvernement le plus féminin existant : douze femmes pour huit hommes. Issue d'une famille modeste, alors pour financer ses études universitaires, elle occupe plusieurs petits boulots notamment comme livreuse de journaux, dans une boulangerie, et caissière dans un magasin. Elle ne voulait surtout pas contracter aucun prêt étudiant de peur de ne pas pouvoir le rembourser. Face à la première vague de la pandémie, la première ministre Sanna Marin a annoncé la mise en application de l'état d'urgence pour protéger la population et le fonctionnement de la société. En effet, un décret présidentiel autorise le gouvernement à prendre des mesures extraordinaires pour contenir la propagation du virus. Suite à ces mesures strictes et rapides, la Finlande est l’un des pays qui s’en sort le mieux, sur le plan économique et sanitaire.

. Greta Thunberg, née en 2003 à Stockholm, Suède, est une militante écologiste engagée dans la lutte contre le réchauffement climatique. Déjà à l'âge de 15 ans, elle proteste devant le Parlement suédois contre l'inaction face au changement climatique. En moins d’un an, elle acquiert une renommée internationale pour ses actions militantes, et son discours radical fait d'elle un symbole pour de nombreux écologistes. Cette héroïne des temps modernes est célébrée partout autour du globe. En 2019, l’adolescente suédoise, est élue Personnalité de l’année par le Time Magazine. Elle s’est exclamée : « nous ne pouvons pas continuer à vivre comme s'il n'y avait pas de lendemain, parce qu'il y a un lendemain ». Lors de sa visite en France, face aux attaques mettant en cause sa légitimité à incarner le combat contre le réchauffement climatique, elle avait ironisé : « Vous n’êtes pas obligés de nous écouter, nous ne sommes que des enfants après tout ». Quoi qu'ils disent ses détracteurs, Greta Thunberg continue de militer pour une noble cause, et elle mérite amplement notre soutien et notre solidarité.