• Benyamin Netanyahou, premier ministre d'Israël, est un terroriste et criminel de guerre. En été 2014, entre autres, il a ordonné le pilonnage de la bande de Gaza - par air, terre et mer - avec l’objectif officiellement déclaré de mettre fin à des tirs de roquettes depuis l’enclave côtière sous blocus. Le bilan de cette agression barbare est : 2 310 Palestiniens assassinés et 10 626 blessés. Et, ce n'est pas fini les agressions israëliennes sous différentes formes... ! Par ailleurs, d'après le ministre des Affaires des prisonniers palestiniens, il y a actuellement 480 enfants Palestiniens dans les prisons de l'occupation Israélienne. Aucun prétexte ne saurait justifier le comportement criminel de Benyamin Netanyahou !

• Recep Tayyip Erdogan, président de la Turquie. Il joue un jeu très dangereux en Syrie, en perdant son statut de partenaire de confiance auprès de ses alliés occidentaux. Au mois de décembre 2015, en réagissant à l'incident du Su-24, le bombardier russe abattu par la Turquie, le président russe Vladimir Poutine a qualifié le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan de « complices des terroristes ». Accusation souvent adressée à la Turquie par les occidentaux mais de manière plus diplomatique. La Turquie laisse passer en Europe à travers sa frontière des flux de pétrole et des reliques pillées par les terroristes de Daech. De plus au mois de mars 2016, le roi Abdallah de Jordanie accuse Erdogan de déverser les terroristes en Europe.

• Tamim ben-Hamad al-Thani, est l'émir du Qatar. Il est le septième souverain le plus riche du monde d'après le magazine américain Forbes. Ses problèmes sérieux ont commencé lorsque les deux puissants voisins du Qatar, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, profitant du retournement de conjoncture en Egypte, ont décidé de criminaliser les Frères musulmans. Il importe de souligner que le Qatar est la terre d'asile de nombreuses figures de la galaxie islamiste, dont le télé-coraniste vedette Youssef Al-Qaradaoui. Par conséquent, l'émirat voyou du Qatar s'est retrouvé accusé à demi-mots de soutenir « une organisation terroriste ». Puis après l'intervention russe en Syrie contre l'État islamique, on entend plus parler du Qatar, ou presque !

• Salmane ben Abdelaziz Al Saoud, est le roi d'Arabie saoudite. C'est un membre de la dynastie saoudienne, Gouverneur de Riyad pendant plus de cinquante ans. Avec leur politique pourrie jusqu'aux os, les dirigeants saoudiens, en promouvant leur idéologie sunnite extrémiste, ont réussi à contribuer à la création des pires terroristes anti-Américains de l'histoire. Au lieu de chercher des solutions pacifiques aux conflits syrien et yéménite, l'Arabie saoudite a voulu la victoire finale sur ces deux fronts, en s'alliant à des organisations terroristes comme Daech et Al-Qaïda. Sans oublier, il y a quelques mois, la rupture des relations diplomatiques par l’Arabie saoudite avec l’Iran. Ces deux pays s’affrontent historiquement pour l’hégémonie régionale et se posent chacun comme le défenseur des deux grands courants de l’islam, le sunnisme et le chiisme.

• Donald Trump, est un homme d'affaires américain. Magnat milliardaire de l'immobilier. En juin 2015, il annonce sa candidature aux primaires du Parti républicain pour l'élection présidentielle de 2016. Celle-ci connaît un succès inattendu. Il enchaîne depuis le début de sa campagne les propos virulents, extrémistes et racistes. Il a comparé les clandestins mexicains à des violeurs et des criminels, et il a promis qu'il «arrêtera l'immigration clandestine» en construisant un mur le long de la frontière mexicaine, un mur qui sera «payé par le Mexique». Il s'était prononcé pour le fichage des musulmans et la fermeture de mosquées, ainsi que la fermeture «temporaire» des frontières des Etats-Unis. Il a suggéré de punir les femmes qui avortent avant de revenir sur ses propos. Au mois de décembre 2015, la couverture du «Philadelphia Daily News» le compare à Adolf Hitler.

• George W. Bush, ancien président des États-Unis. Sa présidence est notamment marquée par les attentats terroristes du 11 septembre 2001, par les guerres d'Afghanistan et d'Irak, par l'adoption par le Congrès des États-Unis du Patriot Act et la création du département de la sécurité intérieure. L’invasion criminelle de l’Irak et la mise en place d’un gouvernement inapte et corrompu, par l’Amérique de George W. Bush, qui a causé la mort de plus de cent mille civils irakiens et détruit les structures étatiques et sécuritaires du pays, et en plus, elle a offert le pouvoir aux chiites au détriment des sunnites, sans oublier, la présence permanente de bases militaires américaines, ce qui a permis avec le temps, la naissance d'un monstre qui est Daech.

• Isaias Afwerki, président de l'État d'Érythrée depuis 23 ans. Son régime est est plus que dictatorial, il est totalitaire. En effet, les germes du totalitarisme étaient présents dès le début de la lutte révolutionnaire. À cette époque, Isaias Afwerki était déjà à la tête d’un parti secret, il a progressivement supprimé tous ses rivaux, il a mis en place un encadrement strict des populations, une approche monastique contrôlant jusqu’à leur alimentation et leurs rapports sexuels. En 2001, il a accéléré sa répression en supprimant tous les médias indépendants et les opposants politiques, et en provoquant la fuite à l'étranger de 5.000 à 10.000 jeunes par mois. En 2015, un rapport de l'ONU a fait état de la dictature la plus brutale au monde qui y sévit, sans provoquer l'indignation de la part de la communauté internationale et des médias !

• Kim Jong-Un, est le dirigeant actuel de la Corée du Nord et Premier secrétaire du Parti du travail. En 2013, lors du premier discours télévisé d'un dirigeant nord-coréen depuis dix-neuf ans, il appelle à « cesser la confrontation entre le Nord et le Sud » et annonce « un virage radical afin de construire un géant économique », mais il se lance ensuite dans une escalade verbale, menaçant de guerre nucléaire la Corée du Sud, le Japon et les États-Unis. C'est un dictateur sanguinaire sans pitié. Il aurait fait exécuter son ministre de la Défense qui s’était assoupi pendant une cérémonie militaire. De plus, d'après les services secrets sud-coréens, il se serait débarrassé de 12 dignitaires du régime, et il avait fait supprimer son oncle et une ex-petite amie au point qu’il est surnommé «Killer Kim».

• Marine Le Pen, présidente du Front national (FN) et députée européenne, a été désignée Grand vainqueur du Prix 2015 du menteur en politique. Le jury de ce prix est composé de journalistes, notamment spécialisés en fact-checking politique. Marine Le Pen s'est distinguée pour son accumulation d’affirmations fausses sur les migrants, entre autres, sur l’ampleur de la vague d’arrivants, sur leur sexe et leurs motivations, sur le jihadisme, sur le faux assaut de migrants contre des pompiers à Calais. On pourrait encore ajouter d'autres mensonges, par exemple : le FN n'est pas l'ennemi des minorités, l'Europe est la cause de tous les problèmes, la seule solution est de sortir de l'euro, les Européens rejettent l'euro, l'Europe est le cheval de Troie du libéralisme et prétendre que le FN ne plus être d'extrême droite... On peut s'attendre d'un parti fasciste et raciste de dire la vérité !

• Nicolas Sarkozy, ancien président de la République française, a été désigné plus grand menteur de l'année 2014 pour ses 17 mensonges répétés en boucle dans ses meetings pendant la campagne pour la présidence de l'UMP. Cette distinction «décernée avec humour» par un jury de spécialistes du «fact-checking» est censée «inciter les politiques à moins mentir». De plus, en 2012, il a annoncé publiquement, qu'il arrêterait définitivement la politique s'il n'était pas réélu à un second mandat, et qui, après sa défaite renonce à sa promesse, et cela, en prenant la tête d’un nouveau parti politique «Les Républicains». Sans oublier son implication dans l'intervention militaire en Libye de 2011 qui a conduit à la chute du régime de Mouammar Kadhafi. Depuis, l'Etat libyen s'est effondré, les milices rivales se disputent le pouvoir, et Daech a profité de la situation pour monter en puissance.

• Moncef Marzouki, ancien président provisoire de la Tunisie, surnommé Tartour, est un super menteur, semeur de haine, de violence et de division. En devenant esclave des terroristes barbares et de l'émir du Qatar, le financier du terrorisme islamiste, il devrait être déclaré persona non grata dans tous les pays qui luttent contre le terrorisme. D'ailleurs, durant son mandat de président provisoire, il a passé la plupart de son temps à critiquer les élites du pays et les bons musulmans, et même de menacer de potence ceux qui osent critiquer l'émirat voyou du Qatar. En 2013, il a révélé au public son «Torchon Noir». Deux semaines plus tard, le juge d’instruction a décidé d’interdire ce fameux ouvrage qui constitue une atteinte à la magistrature tunisienne.

• Rached Ghannouchi, gourou de la secte terroriste Ennahdha. En octobre 2014, le journal koweitien « Achahed » accuse Rached Ghannouchi, de financer les groupes djihadistes barbares de l’État islamique Daech. Le journal précise que plusieurs personnes impliquées avec Daech ont ordonné le transfert des activités militaires et financières de ce groupe en Tunisie. De plus, il importe de souligner que les graves problèmes que vit la Tunisie depuis mars 2015 à nos jours, entre autres, les attentats du Bardo, de Sousse, de Tunis et de Ben Guerdane, ainsi que la peur du retour en Tunisie des djihadistes en Syrie, sont les résultats de la gouvernance dangereuse et pourrie de la Troïka. Bref, Rached Ghannouchi est un gourou terroriste récidiviste et le porte-malheur de la Tunisie et de la Syrie.

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Source : mediapart.fr, lexpress.fr, lepoint.fr, huffingtonpost.fr
mosaiquefm.net, francetvinfo.fr, liberation.fr, leparisien.fr,
lemonde.fr, nouvelobs.com, atlantico.fr, sudouest.fr, slate.fr.
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