Solidarité avec Abir Moussi

Solidarité avec Abir Moussi
Une grande dame, vraie patriote, courageuse et intelligente
14 décembre 2019

Abir Moussi, présidente du Parti Destourien Libre ( PDL ) depuis 2016 et députée depuis 2019. Cette brillante avocate est l’exemple même du courage et de la résistance à la dictature islamiste. Ses discours pour la lutte contre le terrorisme et la corruption sont très appréciés par les tunisiennes et les tunisiens épris de liberté, de démocratie et de justice. C'est une des rares personnes dans le monde politique qui est sincère dans ses propos et convictions.

Lorsque l'on sait que les résultats des dernières élections, surtout les législatives, ont été falsifiés en faveur principalement des islamistes, il est évident que les opposants aux islamo-totalitaires voient les députés nahdhaouis comme illégitimes. Et il fallait s'attendre à des clashes à répétition à l’Assemblée des représentants du peuple. D'ailleurs, tout récemment, Abir Moussi a dénoncé l'incompétence des islamistes à discuter la loi des finances. Sans plus tarder, la députée islamiste du mouvement Ennahdha Jamila Ksiksi, a traité les députés du Parti Destourien Libre ( PDL ) de « bandits et de clochards ». Suite à ses insultes indignes, Abir Moussi, avec son bloc parlementaire, entamait un sit-in dans l’hémicycle du Bardo. Il importe de souligner que Jamila Ksiksi est une mercenaire sous les ordres d'Ennahdha qui n'a même pas le certificat d'étude et n'a aucune notion d'économie. De plus, ses gestes de provocation sont dignes d'une méchante gamine de quatorze ans.

Parmi les autres enragés contre Abir Moussi, on trouve l’avocat et député de la coalition Al Karama, Seifeddine Makhlouf. C'est un véritable dangereux extrémiste et ami des daéchiens. D'ailleurs, il a été condamné hier par le tribunal de première instance de Tunis à une peine de 20 mois de prison, dans une affaire de diffamation. En effet, cette décision intervient suite à une plainte déposée à son encontre par le procureur de la République dans le cadre de la décision de fermeture de l’école coranique de Regueb en janvier 2019. Seifeddne Makhlouf n'a pas accepté cette décision et il avait menacé clairement, dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux, le procureur de la République. Rappelons que l’affaire de l’école coranique de Rgueb a suscité l’indignation de l’opinion publique. Dans cette affaire, des enfants ont été victimes de viols répétitifs. Et d’autres enfants ont été contraints de manger de la nourriture avariée et qu’ils ont été brutalisés. Une autre provocatrice qui ne manque pas une occasion pour exprimer sa haine contre ses adversaires, c'est la députée du Courant démocrate, Samia Abbou. Cette hystérique et amie des terroristes a qualifié Abir Moussi de « mercenaire » et ses agissements à l’ARP de « scandale ». Oh la honte pour Samia Abbou ! elle dit n'importe quoi pour se faire remarquer ! Il importe de rappeler qu'en 2015, sur les 184 députés présents à l’Assemblée, cette vipère est parmi les dix députés qui n’ont pas voté la loi antiterroriste. Comme le dit le proverbe : « Dis-moi qui tu fréquentes, et je te dirais qui tu es ». Quant au gourou de la secte terroriste Ennahdha et président du Parlement, Rached Ghannouchi, il a fait appel aux forces de l'ordre pour mettre fin au sit-in du PDL. La réponse ne se fait pas attendre, les forces de l'ordre refusent de se conformer aux instructions du gourou et président du Parlement. Finalement, c'est Abir Moussi qui a levé le sit-in du PDL après six jours.

Pour ceux qui pensent que le sit-in au Parlement tunisien est une première dans un pays démocratique se trompent carrément. Il suffit de leur rappeler le sit-in en 2016 des élus démocrates au Congrès pour protester contre l'immobilisme des républicains sur la question des armes à feu. En plus, ils ont été soutenus par le président Barack Obama, et se sont succédé pendant plus de 24 heures à la tribune de l'hémicycle, y compris la nuit, pour un sit-in unique dans l'histoire récente du Congrès. Alors, les pseudo-intellectuels arrêter de nous raconter des conneries sur le sit-in du PDL.

Encore une fois, soyons clairs, nets et précis pour tous ceux et celles qui ne connaissent pas bien mes engagements politiques, voici donc un résumé : j’ai toujours été indépendant. Je n’ai jamais fait partie d’aucun parti politique. Je n'ai jamais eu un accord ou un intérêt avec un candidat ou un parti. D'ailleurs, dans le passé, j'étais sollicité à quelques reprises par des partis politiques, mais j'ai refusé leur offre parce que j'ai senti que leur programme ne correspond pas à mes valeurs et mes principes. Quoi qu'il arrive, je n'arrêterai jamais de défendre les bonnes causes et je reste un éternel fidèle qu’à la Tunisie et aux intérêts du peuple tunisien. Et personne ne peut me corrompre.

Par ailleurs, une autre information s'impose : il y a quelques années, j'ai reçu une offre d'une forte somme d'argent de la part d'un éditeur de livres qui m'a demandé de faire une série de caricatures sur l'islam. Voici ce que j'ai lui répondu : quelque soit la somme d'argent, je n'attaquerai jamais la religion musulmane et son prophète, ni la religion chrétienne et ni la religion juive. Je respecte tous les religieux qui pratiquent dignement leur religion, ainsi que les athées. Par contre, je ne me lasserai jamais de militer contre les islamistes, les terroristes, les tyrans, les corrompus, les mafieux, les racistes et tous les autres pourris...

Encore une fois, je tiens à exprimer mon soutien et ma solidarité à Abir Moussi, ainsi qu'à tous les courageux députés du Parti Destourien Libre ( PDL ).

Par Abdelhamid Hanafi

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Source : realites.com.tn, tunisienumerique.com, businessnews.com.tn,
leconomistemaghrebin.com, webdo.tn, lexpress.fr, lepoint.fr.
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Huile sur toile
30" x 36" (76cm x 91cm)

Collection : privée

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