Souvenirs amers de la Troïka
Identification des porte-malheurs de la Tunisie ( visibles sur cette caricature ) : . Hamadi Jebali, le 6ème Calife . Rached Ghanouchi, le Gourou terroriste . Rafik Abdessalem, le Traître . Mohamed Ben Salem, le marchand de religion . Ali Larayedh, le Terroriste sportif . Moncef Marzouki, le Tartour . Noureddine Bhiri, le Pervers . Mustapha Ben Jaafar, le Transfuge . Meherzia Laabidi, la Vicieuse |
19 septembre 2015
NOTE : il importe de souligner que les graves problèmes que vit la Tunisie depuis plusieurs mois, entre autres, les attentats du Bardo et de Sousse, la peur du retour en Tunisie des djihadistes en Syrie, sont les résultats de la gouvernance dangereuse et pourrie de la Troïka. Voici en résumé le bilan catastrophique de la Troïka :
Le 9 avril 2012, le nahdhaouis Ali Larayedh en tant que ministre de l'Intérieur sous le gouvernement de la Troïka use de méthodes assez violentes à l'encontre des manifestants pacifiques qui sont venus commémorer la fête des martyrs au centre ville de Tunis.
Le 24 juin 2012, la remise aux autorités libyennes de Baghdadi Mahmoudi, dernier Premier ministre sous Kadhafi. D'après plusieurs sources, il a été vendu à 180 millions de dollars au profit de l’association tunisienne « Amal ». Et parmi ceux qui sont impliqués dans cette crapuleuse affaire : Hamadi Jebali, Rached Ghanouchi, Moncef Marzouki et Noureddine Bhiri... Il importe de souligner que Baghdadi Mahmoudi a été condamné à mort le 28 juillet 2015.
Le 14 septembre 2012, des Salafistes pénètrent de force dans l’enceinte de l’ambassade américaine à Tunis et incendient le parking ainsi que l'école américaine voisine. Les personnes impliquées et arrêtées ont été libérés après un mois de prison.
Fin novembre 2012, les forces de sécurité sous les ordres du nahdhaouis Ali Larayedh usent de chevrotine (arme strictement interdite) pour contrer des manifestants à Siliana. Des centaines de blessés et plusieurs ont dû perdre un œil.
Fin novembre 2012, une manifestation des Ligues de protection de la révolution (branche armée et sauvage d'Ennahdha), tourne au drame avec l’assassinat du feu Lotfi Nagdh, coordinateur général du parti Nidaa Tounes dans la région de Tataouine.
Le 4 décembre 2012, encore une fois, les Ligues de protection de la révolution (branche armée et sauvage d'Ennahdha), continuent les provocations et la violence contre le siège de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT).
Le 6 février 2013, l'assassinat du feu Chokri Belaid par des terroristes islamistes a provoqué une onde de choc sur la scène nationale et internationale. Ennahdha est ouvertement accusé par la famille d'être responsable du meurtre de l'opposant.
Le 25 mars 2013 sur Nessma TV et dans d'autres déclarations, le Tartour Moncef Marzouki menace tous les contestataires et les opposants à son régime dictatorial, par la peine de prison ferme jusqu’à la perpétuité, voir la condamnation à mort !
Le 11 avril 2013, lors d’une cérémonie officielle organisée dans le cadre de la restitution des avoirs spoliés aux pays du printemps arabe, voici ce que le Tartour Moncef Marzouki a déclaré : "Quiconque critiquera le Qatar, devra en répondre, devant la loi".
Le 25 juillet 2013, en plein ramadan, en ce jour symbolique de la Fête de la République, Mohamed Brahmi, député de gauche et membre de l’Assemblée nationale constituante, a été assassiné par 14 balles devant son domicile. Comme dans le cas de Chokri Belaïd, la famille de Mohamed Brahmi a accusé immédiatement le parti islamiste au pouvoir Ennahdha d'être responsable.
Le 6 août 2013, Mustapha Ben Jaafar, le traître suprême et président de l’Assemblée Nationale Constituante, a décidé unilatéralement de suspendre les travaux de l'ANC. Durant son intervention télévisée, il a pleuré sur son sort sous prétexte que le sort de la Tunisie le touche profondément ! Espèce de menteur ! si tu as vraiment un cœur, tu n'auras jamais trahi le peuple tunisien.
Le 21 octobre 2013, un membre du syndicat de la sûreté Républicaine, a affirmé sur Nessma tv que le nahdhaoui Noureddine Bhiri, ex-ministre de la Justice et ministre conseiller auprès du Chef du Gouvernement provisoire avait déclaré lors d’une réunion avec le syndicat des prisons et des établissements pénitentiaires : « Si vous êtes 50 mille policiers, nous sommes 100 mille kamikazes ».
Le 30 octobre 2013, pour la première fois de son histoire, la Tunisie a été confrontée aux attentats-suicides. Un kamikaze a tenté de faire exploser la bombe qu'il portait à l'intérieur d'un hôtel à Sousse. Mais grâce à la vigilance des gardiens, il a été repéré et empêché de pénétrer dans l'hôtel. Donc, il s'est fait exploser sur la plage déserte. Mis à part le terroriste lui-même, l'attentat n'a pas fait de victimes. Le matin même, un autre attentat a été empêché contre le mausolée de Bourguiba à Monastir.
Le 16 novembre 2013, le magazine télévisé l'Effet Papillon, diffusé sur Canal+ s'est penché sur le départ des jeunes tunisiens pour le Djihad en Syrie. Selon ce reportage, le plus gros contingent de djihadistes en Syrie vient de Tunisie. Ce n'est pas surprenant lorsque l'on sait que Habib Ellouze, un des membres fondateurs de la secte terroriste Ennahdha, a déclaré, entre autres, à ce magazine que les jeunes partent au Djihad pour une cause noble.
Le 28 novembre 2013, le Tartour Moncef Marzouki a révélé au public son Livre Noir ( le plus tôt son «Torchon Noir» ). Ce fameux ouvrage constitue une atteinte à la magistrature tunisienne et à la justice transitionnelle. D'ailleurs, deux semaines plus tard, le juge d’instruction a décidé d’interdire sa publication.
Le 16 juillet 2014, 14 agents de la garde nationale ont été tués et 23 ont été blessés, suite à deux lâches attentats terroristes sur le mont Chaambi dans le gouvernorat de Kasserine. Ces attentats odieux s'ajoutent à d'autres attaques, dans différentes régions de Tunisie, attribuées aux djihadistes dans lesquelles plusieurs dizaines de membres des forces de l'ordre ont été tués... C'est le résultat de la complicité d'Ennahdha et de la Troika avec ces barbares.
Mi-octobre 2014, le journal koweitien « Achahed » accuse Rached Ghannouchi, gourou de la secte terroriste Ennahdha, de financer les groupes djihadistes barbares de l’État islamique DAECH. Le journal précise que plusieurs personnes impliquées avec DAECH ont ordonné le transfert des activités militaires et financières de ce groupe en Tunisie.
Le 13 juillet 2015, selon un document publié par le ministère des finances, la dette publique tunisienne est passée de 25 640 millions TND ( avant la révolution ) à 40 621 millions TND en 2014( après le règne de la Troïka, soit + 58%. Ce qui signifie : aujourd'hui, chaque Tunisien naît avec 3693 dinars de dettes !
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Humour politique en Tunisie 2015
Médium : mixte
10" x 8" (26cm x 20cm)
Collection : privée
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